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Le podcast de l'exit en musique.Vendre son entreprise, beaucoup y pensent, peu y sont réellement préparés.Pour des raisons autant professionnelles que personnelles, certains fondateurs décident à un moment de céder leurs entreprises, pas tous pour les mêmes raisons, ni dans les mêmes conditions.En se livrant sur les étapes clés de la cession de leurs entreprises, des premières négociations au jour où ils ne seront plus chez eux dans l’entreprise qu’ils ont créée, nos invités vous ouvrent les portes de cette étape cruciale et souvent taboue de la cession d’entreprise.Entre excitation et peur, clauses spécifiques, enjeux humains et financiers, plongez dans les coulisses de ces moments clés pour tout entrepreneur.Dans un échange rythmé par deux entrepreneurs qui côtoient depuis plus de quinze ans l’écosystème startups et M&A, les entrepreneurs révèleront leur vision, leur ressenti et leur point de vue et se livreront sur leur vie d’après.
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Cash Out - les coulisses des exits en musique FeuilleBlanche Studios

    • Business

Le podcast de l'exit en musique.Vendre son entreprise, beaucoup y pensent, peu y sont réellement préparés.Pour des raisons autant professionnelles que personnelles, certains fondateurs décident à un moment de céder leurs entreprises, pas tous pour les mêmes raisons, ni dans les mêmes conditions.En se livrant sur les étapes clés de la cession de leurs entreprises, des premières négociations au jour où ils ne seront plus chez eux dans l’entreprise qu’ils ont créée, nos invités vous ouvrent les portes de cette étape cruciale et souvent taboue de la cession d’entreprise.Entre excitation et peur, clauses spécifiques, enjeux humains et financiers, plongez dans les coulisses de ces moments clés pour tout entrepreneur.Dans un échange rythmé par deux entrepreneurs qui côtoient depuis plus de quinze ans l’écosystème startups et M&A, les entrepreneurs révèleront leur vision, leur ressenti et leur point de vue et se livreront sur leur vie d’après.
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    :60 Cession à la SG, déjà sur le siège passager - Laurent Potel - Reezocar

    :60 Cession à la SG, déjà sur le siège passager - Laurent Potel - Reezocar

    “Au moment où on a créé la boite, j’avais déjà dit qu’on vendrait à une banque” Laurent Potel aurait-il des talents de voyance ?
    Avec Vladimir Grudzinski et Vincent Deboeuf, et rapidement rejoint par Tristan Pillon, Laurent Potel fonde Reezocar en 2014. Ils se lancent alors sur un marché de l’automobile complexe et en perpétuelle transformation, et proposent une solution permettant de faciliter la recherche et sécuriser l’achat de véhicules d’occasion en France et en Europe.
    Et encore une fois, les cessions se suivent mais ne se ressemblent pas. Pour Laurent Potel, c’est l’histoire d’une cession en interne à un grand groupe qu’il avait déjà accueilli à son board quelques années auparavant, en l’occurrence la Société Générale. Une banque donc, comme Laurent l’avait prédit.
    Une cession particulière, puisque tout s’est déroulé simplement, entre deux acteurs qui se connaissaient déjà très bien. Raison pour laquelle Laurent Potel a vécu cette cession comme “un simple bon déroulement de process”, sans émotion particulière au moment du signing.
    Mais rassurez-vous, même s’il qualifie cette cession d’”élégante”, Laurent Potel revient aussi sur toutes les montagnes russes qu’il a vécu, notamment lorsqu’ils ont dû demander à leurs salariés de réduire ou décaler leurs salaires.
    Il évoque aussi :
    la culture d’entreprise qu’il a toujours voulu inculquer chez Reezocar, basée sur la confiance et l’authenticité, et comment ses salariés lui ont rendu au moment de son départl’importance, pour tout entrepreneur, de construire un board solidepourquoi sa fille raconte que le métier de son papa est d’organiser des anniversaires
    Un podcast conçu et produit par Feuille Blanche, en partenariat avec Neuflize OBC.
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    • 1 hr 56 min
    :59 Après deux cessions avortées, la troisième était la bonne - Sébastien Béquart - Gymlib

    :59 Après deux cessions avortées, la troisième était la bonne - Sébastien Béquart - Gymlib

    “Jamais deux sans trois” : l’adage n’aura jamais sonné aussi juste que pour l’histoire de Sébastien Bequart et sa cession de Gymlib.
    Après des études en école de commerce, Sébastien Bequart démarre sa carrière dans l’audit financier chez Deloitte. Mais quand son futur associé Mohamed Tazi lui pitch l’idée de Gymlib en 2013, il n’hésite pas longtemps avant de se lancer dans l’entrepreneuriat.
    Ils fondent alors Gymlib avec un positionnement B2C. Après des débuts marqués par une forte croissance mais aussi de grosses difficultés à gérer leur marge, ils décident de basculer en B2B et proposent aux collaborateurs d’accéder à plusieurs infrastructures sportives, le tout sous un seul et même abonnement, sans engagement, en double financement entre le salarié et l’entreprise.
    Le marché est porteur, la valorisation de Gymlib augmente, et Sébastien Bequart décide de s’ouvrir à un rachat. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Une première opportunité de cession est avortée à 2 jours de la signature par le potentiel repreneur, faute d’argent. Puis une deuxième opportunité tombe également à l’eau quelques mois plus tard, cette fois-ci à cause du Covid.
    Donc quand en 2022, la guerre en Ukraine éclate alors que Sébastien Bequart est en passe de conclure avec les allemands d’eGym, le stress monte. Mais cette fois-ci, les repreneurs sont bien décidés à conclure cette cession et le deal sera signé en mai 2022.
    Tout au long de cette épisode, Sébastien Bequart revient avec beaucoup de sincérité et de transparence sur toutes les montagnes russes qu’il a rencontré dans ce projet de cession.
    Il évoque aussi :
    l’importance et la force de l’intuition de l’entrepreneur, qui l’a toujours guidé et qui continue aujourd’hui, notamment dans ses choix d’investissementsson aventure entrepreneuriale riche en émotion avec Gymlib, lui que ses premiers employés jugeaient comme n’étant pas l’homme de la situationcomment il envisage sa vie d’après, et sa volonté de préserver ses enfants du futur patrimoine dont ils disposeront.
    Un nouvel entrepreneur recommandé par Martin Jaglin, et un nouveau témoignage inspirant pour une émission qui se finit en squat !
    Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche
    À vos écouteurs 🎧

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    • 1 hr 38 min
    :58 Céder un groupe industriel familial après 3 générations - Pascal Teurquetil - Groupe Muller

    :58 Céder un groupe industriel familial après 3 générations - Pascal Teurquetil - Groupe Muller

    La famille Cash Out s’agrandit avec l’arrivée de Pascal Teurquetil. Ça tombe bien : la famille est un peu le maître mot de toute son aventure avec le Groupe Muller.
    Fondée dans les années 1930 par le grand-père de Pascal, l’entreprise est reprise ensuite par son père qui va se spécialiser dans les équipements de chauffage domestique et développer un groupe industriel de premier plan.
    Après plusieurs années passées à l’étranger et notamment aux Etats-Unis pour ses études, Pascal Teurquetil rentre en France en 1996 et va rejoindre la gouvernance de l’entreprise familiale juste après le rapprochement avec une autre entreprise familiale irlandaise. Son projet est grand : faire du Groupe Muller l’entreprise numéro 1 du secteur en France et à l’international.
    Près de 25 ans plus tard, une croissance constante, plus de 300 millions de chiffre d’affaires, plusieurs marques rachetées, des innovations qui raflent des prix au CES Las Vegas, et la création de nouvelles usines en France, l’objectif de Pascal est atteint. S'il aime à rappeler la force du triptyque industrie, innovation et entrepreneuriat, c'est surtout une approche du temps long, permise par un actionnariat familiale qui va permettre à l'entreprise de durer et de croitre.
    Mais la société change, les hommes changent et les projets de Pascal Teurquetil aussi. Il découvre le mentorat entrepreneurial avec l’IME. C’est désormais ce qui l’anime. En plus de cela, la nouvelle génération de la famille irlandaise, avec qui il était associé depuis plus de 20 ans, a une vision stratégique de plus en plus financière, ce qui s’éloigne des valeurs qu’il incarnait. Il décide alors de leur céder le Groupe Muller.
    Tout au long de cet épisode, Pascal Teurquetil revient sur les coulisses de cette cession en famille, puisqu’en plus de considérer les repreneurs comme sa famille professionnelle, il a mené les négociations avec son frère et sa soeur, également actionnaires du Groupe Muller.
    Il évoque aussi :
    l’importance de l’accompagnement de le processus de cessionsa nouvelle vie avec son family office, et tous les bienfaits du mentorat entrepreneurialla raison insolite qui explique pourquoi “Groupe Muller” et pas “Groupe Teurquetil”
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    • 1 hr 36 min
    :57 Céder et regagner son indépendance - Isabelle Saffar - Cegape

    :57 Céder et regagner son indépendance - Isabelle Saffar - Cegape

    “Cette boite, c’est mon bébé. Je l’ai toujours considérée comme mon quatrième enfant”. Voilà comment Isabelle Saffar évoque Cegape encore aujourd’hui, plus de 15 ans après sa cession.
    Isabelle Saffar fonde Cegape en 1996, le Centre d'Études et de Gestion des Allocations pour Perte d'Emploi. En s’attaquant à un marché difficile qu’elle ne connaissait que très peu à l’époque, Isabelle a bien connu toutes les montagnes russes des entrepreneurs, mais sa solution devient incontournable et tout le monde veut s’équiper du premier logiciel français de gestion des chômeurs du secteur public.
    Mais ce qui fait la particularité de l’histoire d’Isabelle Saffar est bien le lien qui la liait à son associé, alors son mari, et qui est d’ailleurs une des raisons qui l’a poussé à vendre.
    En 2006, quand un ami avocat d’affaires leur parle d’Alma Consulting comme un potentiel acquéreur de Cegape, Isabelle Saffar n’hésite pas et engage très rapidement les discussions. Elle y voit l’opportunité de regagner son indépendance, que ce soit financièrement ou d’un point de vue personnel.
    Avec beaucoup de sincérité, Isabelle revient sur toute cette aventure et raconte avec beaucoup d’émotion le crève-coeur et le chamboulement que cela a été de céder Cegape et quitter ses collaborateurs. Elle évoque aussi :
    le point de tension durant les négos, quand il a fallu convaincre les repreneurs de ne pas délocaliser Cegape de ses locaux à Pariscomment son divorce a sonné comme un déclic pour démarrer une nouvelle viesa rencontre avec Jean-Louis Bouchard, comment elle a réussi à éviter la faillite d’Aragon, et sa dernière aventure entrepreneuriale avec Smilein
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    • 1 hr 13 min
    :56 Bref, j’ai vendu à Sir Martin Sorrell - Wale Gbadamosi-Oyekanmi - Dare.win

    :56 Bref, j’ai vendu à Sir Martin Sorrell - Wale Gbadamosi-Oyekanmi - Dare.win

    “Ça me fait rire d'être dans Cash Out aujourd'hui, en me disant que j’ai lancé Dare.win alors que je n’avais ni statut ni compte en banque.”
    Wale Gbadamosi-Oyekanmi lance Dare.win en 2011 dans sa chambre, avec sa table à repasser comme bureau, sans savoir faire de devis alors qu’il venait de vendre 5 idées à Canal+ et Bref.
    Son objectif avec Dare.win est simple : créer une agence de pub avec pour seule mission de divertir les gens.
    15 ans plus tard, l’objectif est plus qu’accompli. Le contrat avec Bref a lancé la machine, c’est à eux que l’on doit la stratégie de communication de Netflix depuis qu’ils ont décidé de conquérir le marché français, parmi d’autres contrats avec des géants comme Spotify, Google ou PlayStation.
    Et ce succès se mesure aussi dans la cession, puisque c’est la légende de la publicité Sir Martin Sorrell en personne qui prend contact avec lui au début des négociations. Ces dernières sont rapides mais le deal reste sportif pour Wale puisqu’il se déroule en pleine période Covid et se finalise à distance entre les couches et les biberons, alors qu’il venait de rentrer en congé paternité.
    Dans cet épisode inspirant, drôle et sincère, Wale se livre sur toute cette aventure, comment son héritage culturel, lui qui est franco-nigerian, guide ses choix personnels et professionnels, et remercie sa mère pour les sacrifices qu’elle a fait quand ils sont arrivés en France. Il évoque aussi :
    la folle période de Dare.win en Allemagne, et comment Wale a mis fin au projet à cause d’une erreur de recrutementsa nouvelle vie où il dédie son temps à rendre ce qu’on lui a donné et le besoin qu’il ressent “d’investir pour rendre le monde meilleur”sa vision de l’entrepreneuriat, sa volonté d’entreprendre seul et surtout d’accepter qu’il n’était plus en capacité de suivre les ambitions de Dare.win
    Et un grand merci à Martin Jaglin de nous avoir soufflé le nom de Wale Gbadamosi-Oyekanmi lors de son passage dans Cash Out.
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    • 1 hr 36 min
    :55 La véritable histoire de la cession de Shanty Biscuits - Shanty Baehrel

    :55 La véritable histoire de la cession de Shanty Biscuits - Shanty Baehrel

    Shanty Baehrel n’a jamais suivi les codes, du lancement de sa boite jusqu’à sa cession.
    Seulement 1 semaine après avoir définitivement quitté Shanty Biscuits, elle nous raconte toute l'histoire de cette incroyable aventure qui a commencé par ce qu'elle était frustrée de ne pas pouvoir customiser ses biscuits comme elle le voulait.
    Depuis sa cuisine à celle de ses parents et jusqu’à sa propre usine, c’est surtout sur les réseaux sociaux que la créativité de Shanty s’exprime. Ses biscuits à messages font le buzz sur Instagram, tout le monde en réclame !
    Après 10 ans, il y a la "fame" et l’envers de la “fame” : une pression incessante sur ses seules épaules qui lui donne une furieuse envie d’écrire une nouvelle page.
    Le (presque) hasard de la vie lui fait rencontrer Ricahrd Gigou qui cherche justement un projet à reprendre. Les négociations commencent fin 2022. Shanty et Richard finissent par tomber d’accord en avril 2023.
    Mais Shanty on vous l’a dit, elle ne fait rien comme tout le monde et elle décide d’annuler le deal quelques jours avant le closing. La raison ? Elle vient de rencontrer l’amour.
    Seulement, l’idylle se finit plus rapidement que prévu et son envie de vendre revient aussitôt. Elle recontacte alors Richard Gigou en septembre 2023 et lui propose un nouveau deal plus avantageux financièrement pour lui. Un deal que Richard accepte, et la cession est signée en novembre.
    Tout au long de cet épisode, Shanty Baehrel se livre pour la première fois sur les coulisses de cette incroyable cession. Les sentiments se mélangent encore, entre tristesse, nostalgie et soulagement, mais c’est avec beaucoup de sincérité qu’elle évoque notamment :
    le décès tragique de Richard Gigou quelques semaines après la signature du closingson plus gros défi : le sujet de l’automatisation de la productionle moment où elle a failli arrêter Shanty Biscuits à cause d’une association qui s’est mal passée
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    • 1 hr 18 min

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