Description
La préservation de l'environnement est devenue une priorité, et de nombreux objets du quotidien sont remis en question, notamment les piles, dont le mercure est particulièrement polluant. Face à ce défi, les piles rechargeables apparaissent comme une alternative plus respectueuse, mais une nouvelle solution pourrait bientôt révolutionner ce secteur. C'est une entreprise française, basée à Valence, dans la Drôme, qui pourrait bien transformer notre quotidien.
Dracula Technologies, un nom à retenir, développe des modules photovoltaïques organiques, ou OPV, capables de générer de l'énergie à partir de la lumière ambiante. « Ces modules, que nous appelons photovoltaïques indoor, peuvent remplacer les piles classiques en fournissant une énergie renouvelable pour des objets domestiques », explique Jérôme Vernet, directeur des ventes et marketing de la société. Ces petits dispositifs pourraient bientôt alimenter des objets comme les télécommandes, les objets connectés des maisons intelligentes, ou encore les étiquettes électroniques dans les supermarchés.
L'avantage majeur de ces modules OPV réside dans leur capacité à se recharger en permanence sous la lumière ambiante, rendant obsolète l'utilisation de piles traditionnelles. Mais ce n'est pas tout : ces dispositifs sont aussi écologiques. « Nous utilisons des matériaux organiques et recyclables en fin de vie. Il ne faut qu'un gramme de matière pour produire un mètre carré d'OPV », précise Brice Cruchon, PDG de Dracula Technologies, avec enthousiasme. Après dix ans de recherche, l'entreprise passe à la vitesse supérieure avec l'ouverture d'une usine capable de produire jusqu'à 150 millions de cm² de dispositifs par an. Un développement qui s'accompagnera du recrutement de 100 nouveaux salariés d'ici 2026. Dracula Technologies est bien partie pour imposer une révolution verte dans le monde de l'énergie.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce n’est plus un secret pour personne : l'IA est une grande consommatrice d'énergie, un véritable casse-tête pour la planète et pour nous. Pourtant, cela n'empêche pas certains, comme Sam Altman, d'avoir des ambitions démesurées, avec par exemple la construction d’un centre de données pour OpenAI...
Published 10/31/24
Les grands modèles de langage nécessitent des capacités de calcul colossales. Un seul mètre carré d'un centre de données dédié à l’IA peut consommer jusqu'à 120 kilowatts d'énergie, soit l'équivalent de la consommation énergétique et de la chaleur dégagée par 15 à 25 foyers, selon Andrey...
Published 10/30/24