Thomas Reverdy : « Au programme du bac, le livre le plus récent a plus de 100 ans ! »
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« Mes élèves vont finir par savoir que je suis écrivain ! » C’est ce qu’il avait déclaré un jour à la presse. Professeur de lettres et écrivain, Thomas Reverdy a cette double casquette et ce sont deux quotidiens qu’il essaie de segmenter autant que possible. Agrégé de lettres modernes et marqué par la lecture d’Antonin Artaud, il a signé une dizaine d’ouvrages en vingt ans. Parmi eux, Les Evaporés (J’ai lu, 2015), Il était une ville (Flammarion, 2015), L’Hiver du mécontentement (Flammarion, 2018) ou Climax (Flammarion, 2021). Avec une plume qui puise tour à tour dans les traditions des récits de formation ou les romans noirs, il a pensé l’amitié, le souvenir, la disparition et le deuil. Avec souvent un pied dans le réel. Thomas Reverdy était l’invité du Salon du livre du Mans Faites lire !. Pour Le Monde, la journaliste Judith Chetrit l’a interrogé sur son rapport à la littérature, à l’écriture. L’auteur nous livre ses conseils de lecture à travers le « Keskili » du « Monde des livres ». Chaque vendredi, retrouvez un podcast « Keskili » animé par Judith Chetrit, réalisé par Alexandre Ferreira, produit par Joséfa Lopez pour Le Monde. Editorial : Joséfa Lopez, Emmanuel Davidenkoff, Raphaëlle Leyris. Prise de son : Alexandre Ralha pour Eyeshot. Lecture : Joséfa Lopez. Illustration : Stefania Infante. Identité graphique : Mélina Zerbib, Yves Rospert. Partenariats : Sonia Jouneau, Victoire Bounine, Valérie de L’Hortet. Partenaire : Salon du livre du Mans, Faites Lire !. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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« Il y a quelque chose de fascinant dans le livre et dans le pouvoir des mots. Je reste devant cela dans un rapport très enfantin. J’écris toujours sur ce que je ne comprends pas. » Cette observation, Sylvie Germain la formule en 1984, l’année qui suit la parution de son premier roman, Le Livre...
Published 12/08/22
Published 12/08/22
A la radio sur France Inter, Sonia Devillers a l’habitude de faire vivre les histoires qui cernent et révèlent l’histoire. Elle porte elle-même celle de ses grands-parents maternels, partis de la Roumanie communiste et arrivés à Paris en décembre 1961. Non pas déportés, mais « exportés » parce...
Published 12/01/22