Description
Anne, par jeu, me jeta de la neige, Que je cuidais froide certainement ; Mais c'était feu; l'expérience en ai-je, Car embrasé je fus soudainement. Puisque le feu loge secrètement Dedans la neige, où trouverai-je place Pour n'ardre point ? Anne, ta seule grâce Éteindre peut le feu que je sens bien, Non point par eau, par neige, ni par la glace, Mais par sentir un feu pareil au mien.
Voici sonnée l’heure du départ
Fin annoncée de ces matins flemmards
Pour mon ado qui dort souvent bien tard
Voilà l’automne qui s’invite, pluvieux
Pour nous accompagner : ses cieux
Chargés de souvenirs en camaïeux
De Giverny à Sylvains les moulins
De parfums luxueux en air salin
De jolis...
Published 12/21/20
Derrière moi les traces de ton passage
Devant moi comme un dimanche plane ton ombre
Merveilleux et sauvages messages cryptés en nombre !
Pour les déceler peut-être être bien silencieux ou sages ?
Pas à pas… savoir pouvoir vouloir lire de multiples signes
À l’aune de la science et de la...
Published 12/17/20