Les Partis Pris : "OQTF, méthode dure ou méthode douce ?", "La revanche de l'Europe du Sud" et "Il faut remplacer l'UNRWA"
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Depuis lundi, Emmanuel Macron était en visite d'État au Maroc pour une durée de trois jours. Le président de la République est accompagné d'une délégation importante dont le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. Lors de ce voyage, un enjeu pourtant majeur, n'a pas été abordé, semble-t-il, aujourd'hui, mais peut-être plutôt dans la coulisse. C'est la fameuse question des OQTF (Obligation de quitter le territoire français). Ruth Elkrief se demande alors si le chef de l'État va choisir la méthode douce ou la méthode dure pour tenter de convaincre le Maroc d'accepter de délivrer les laissez-passer consulaires.
L'Europe du Sud, dont l'Espagne notamment, est en train de prendre sa revanche. Ce pays aura cette année la plus forte croissance de tous les pays développés. Elle est de l'ordre de 2,7%, soit trois fois plus que la zone euro, en moyenne. Le tourisme est à l'origine de ce boom économique. Mais malgré cela, des difficultés persistent, précise François Lenglet. La dette publique est à 102% du PIB et le chômage reste très élevé, à hauteur de 11,2%. Il estime alors que ce n'est pas encore gagné pour l'Espagne même si les performances sont remarquables.
La Knesset, parlement israélien, avec une très large majorité, vote l'interdiction pour l'UNRWA (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) de continuer à travailler à Gaza. Abnousse Shalmani se demande pourquoi l'ONU ne l'avait pas anticipée. Pour elle, donc, on peut comprendre les critiques émises à l'encontre de cette agence onusienne. Elle suggère alors de remplacer l'UNRWA.
Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
Les menaces se font de plus en plus pressantes : Michel Barnier passera-t-il Noël ? Ruth Elkrief pense qu’il y a plus de chance ou de risque que le gouvernement tombe vers la fin décembre. Mais en même temps, une censure ne résoudrait pas le problème, ni ne ramènerait pas la stabilité selon elle....
Published 11/21/24
Entouré de ses deux avocats, Pierre Palmade apparaît ce mercredi sur le banc du prévenu en homme brisé. Ses premiers mots étaient pour les victimes. L’humoriste a demandé au président de s'adresser directement à eux. Il s’est retourné vers le banc des parties civiles avant de lancer...
Published 11/20/24