Je crois que je vous ai fait un cours de psychologie sociale, en fait. Dans cet épisode, je me demande en quoi nos biais psychologiques peuvent nous empêcher d'être pleinement concerné(e)s par certains des discours alarmistes de la science-fiction (mais aussi en général). Et ici on se focus sur le rôle de la cli-fi dans la lutte climatique (peut-être que je referai cet épisode sur un autre sujet, n'hésitez pas à me partager vos avis !) Sinon, va falloir que j'apprenne à faire des épisodes un peu plus structurés, mais en même temps y'a trop de choses à dire c'est dur :/ Perrin, C. (2020). Dynamiques de l’effondrement dans le fantastique, la fantasy et la SF. Caliban: French Journal of English Renaissance Studies, (63), 171-186. https://doi.org/10.4000/caliban.7539 Rebecca Evans. (2017). Fantastic Futures? Cli-fi, Climate Justice, and Queer Futurity. Resilience: A Journal of the Environmental Humanities, 4(2–3), 94–110. https://doi.org/10.5250/resilience.4.2-3.0094 Van Der Linden, S. (2014). On the relationship between personal experience, affect and risk perception:The case of climate change. European Journal of Social Psychology, 44(5), 430–440. https://doi.org/10.1002/ejsp.2008 Chan, E.Y., Lin, J. Political ideology and psychological reactance: how serious should climate change be?. Climatic Change 172, 17 (2022). https://doi.org/10.1007/s10584-022-03372-5 Clarke, A. C. (1962). In defence of science fiction. The UNESCO Courier: a window open on the world, 15(11), 14-17. https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000001566. Asimov, I. (1961, November 19). Fact catches up with fiction. New York Times Magazine. https://archive.nytimes.com/www.nytimes.com/books/97/03/23/lifetimes/asi-v-fact.html