“Charles est un cracker, mais il n’est pas représentatif des pauvres types ou femmes à la rue, qui n’ont plus de conscience, ruinée par le crack, ces toxicomanes, pour les avoir vu en Guyane, sont des gens extrêmement maigres qui ne pensent qu’à leur prochaine prise. Depuis 20 ans la police n’a rien fait à Stalingrad, laissant les parents s’occuper des drogués. Charles parle des criminels avec la voix du toxico, il leur reconnaît des qualités, c’est un autre univers, abject, où l’humanité a l’air d’être absente, une survie en attendant la fin.
En attendant, Charles qui a toujours gardé le cap,
a une famille, un psy, et peut se reconstruire si il en a envie, bien entendu.”
alberto-eric via Apple Podcasts ·
France ·
11/04/22