Description
On propose un remède miracle à des gens qui sont en situation de vulnérabilité ! “Fais une transition, tu verras, tous tes problèmes vont s'envoler!”Je pense que si ma fille avait insisté pour les bloqueurs de puberté, je l'aurais probablement appuyée dans cette démarche, quand elle avait 14 ans, parce que je croyais vraiment, sincèrement, à cette idéologie.Et aujourd'hui, ça me donne envie de vomir quand j'y pense, que j'aurais pu l'aider à se détraquer la santé!Moi, ayant des problèmes de santé que je n’ai pas choisis, provoquer ça sur un corps sain! Mais ça me rend malade! Penser que des personnes, que des enfants se rendent malades physiquement alors qu'ils ont juste ce besoin des adolescents de se connecter à une communauté...On est en train de créer une société de nombrilistes fanatiques. Ils sont haineux, ils sont dangereux et ils glorifient la victimisation!On se croit en pleine dystopie... mais en fait, non! C'est la réalité.Et quand je vois le nombre de médias, de personnalités, de politiques qui suivent le train sans se poser de questions, et qui mettent en avant le droit de faire taire le personnel médical, de faire taire les parents, de faire taire les scientifiques, museler les femmes… ça fait peur pour notre droit d'expression et pour les personnes qui sont prisonnières de cette spirale. Les personnes qui ont suivi le mouvement, sont convaincues, et vont convaincre d'autres personnes, c'est comme une contagion. Et un jour, elles vont se réveiller, et se dire qu'elles se sont fourvoyées. On le voit avec les personnes qui les détransitionnent : ces personnes-là, elles souffrent tellement plus encore, que si on s'était occupés d’elles correctement, que si on leur avait apporté ce dont elles avaient besoin dès le début, au lieu de leur dire “il suffit d'une baguette magique”.Il n’y a rien de romantique ou d’héroïque dans la souffrance et la maladie. Vraiment. Ce n’est pas drôle.Ce n’est vraiment pas drôle, donc il ne faut pas le faire.La vérité des femmes, c’est une vérité de résilience et c'est vraiment important que les femmes trouvent leur voix et qu'on ne se laisse pas silencier comme ça.Pauline, rebelle du genre.
"Je m'appelle Athéna, j'ai 60 ans. Je suis née à Strasbourg, donc je suis alsacienne. Et à 20 ans l'âge de 20 ans, je suis allé étudier à Montréal, et puis je suis restée au Québec, pour la raison la plus banale au monde, c'est-à-dire que je suis tombée amoureuse d'une personne, d'une...
Published 11/10/24
" Mon parcours de biologiste m'a permis d'avoir une approche scientifique de ce qu’est un être humain, et ce qu'est le sexe. Bonjour, je m'appelle Amélie, je suis dans la moitié de la vingtaine, je suis biologiste, j'ai des origines d'Europe de l'Est et française ce qui m'a permis d'avoir un...
Published 10/30/24