Description
Revendiquer des espaces de non mixité pour éviter les agressions, ce n’est pas transphobe. C’est juste féministe.Parce qu’il est bien connu que la plupart des agresseurs sont des hommes."Bonjour, je m'appelle Roxane, et je suis une femme bisexuelle de 22 ans. J'habite en Île-de-France, et je suis étudiante en lettres modernes. J'ai longtemps été une féministe libérale, ne sachant pas vraiment quelles étaient les limites de cette forme de féminisme, avant de me tourner vers le féminisme radical, suite à de nombreuses recherches, et à de nombreux questionnements, qui ont été dus à certaines transitions qu'ont opéré des amis autour de moi.Je suis devenu critique du genre à partir du moment où je me suis intéressée à la nature même du féminisme radical, n'étant pas satisfaite avec ce que j'entendais sur tous les réseaux sociaux dans la sphère du féminisme libéral, notamment concernant la question de la transidentité. La parole transactiviste prend de plus en plus d’espace".Roxane, rebelle du genre
"Je m'appelle Athéna, j'ai 60 ans. Je suis née à Strasbourg, donc je suis alsacienne. Et à 20 ans l'âge de 20 ans, je suis allé étudier à Montréal, et puis je suis restée au Québec, pour la raison la plus banale au monde, c'est-à-dire que je suis tombée amoureuse d'une personne, d'une...
Published 11/10/24
" Mon parcours de biologiste m'a permis d'avoir une approche scientifique de ce qu’est un être humain, et ce qu'est le sexe. Bonjour, je m'appelle Amélie, je suis dans la moitié de la vingtaine, je suis biologiste, j'ai des origines d'Europe de l'Est et française ce qui m'a permis d'avoir un...
Published 10/30/24