“Certes. Mais elle se veut critique. Encenser Arielle Dombasles en puisant dans les aphorismes sartriens pour la tirer des limbes de la médiocrité ne suffit pas. La « mauvaise foi » consiste avant tout à refuser les évidence, au point d’adhérer à ses propres mensonges.
J’aurais plutôt cité Mauriac qui aurait dit d’elle qu’elle « s’efforce de déplaire exprès de peur de déplaire naturellement ».
En philo, l’idée s’impose au réel. La philosophie de comptoir d’Inter prend le parti inverse. On valide une réalité en faisant plier de force l’idée dont elle émane. Dombasles « ne doit pas » être une imposture, donc l’idée de ce qu’est une icône doit se plier à la médiocrité pour la transcender et nous faire croire qu’elle est une aura inaccessible à des esprits communs.
Soyons clair, sous le soleil du vrai Platon, l’idée même d’une Dombasles aurait poussé le disciple à siffler la même ciguë que le maître.”
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08/02/24