/!\ TW : violences sexuelles, inceste /!\ Aujourd'hui, dans Graine de Métamorphose, Claire-Marie Dikanska reçoit Vahina Giocante, actrice. Comment surmonter les traumatismes les plus violents ? Comment sortir de la honte et du tabou ? Pendant des années, Vahina Giocante a subi l'inceste de son père dans le silence et la souffrance. Lorsqu'elle apprend que sa sœur en est également victime, c'est le déclic pour dénoncer ces violences, puis pas à pas, se reconstruire. Dans son livre "À corps ouvert" publié aux éditions Robert Laffont, elle raconte son parcours de reconstruction et de guérison bien qu'elle se retrouve confrontée à la lâcheté de son père qui refuse d'admettre son crime. Malgré les obstacles, Vahina Giocante nous le prouve, on peut s'en sortir, même en aillant vécu les pires abus. Épisode #97 Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu Métamorphose Thèmes abordés lors du podcast avec Vahina Giocante : L'importance de la reconnaissance de la justice pour la reconstruction des victimesLe besoin de parler de l'inceste pour éviter la destruction intérieureLes conséquences du silence sur les abusL'importance d'éduquer les garçons pour lutter contre les violences sexuellesLa nécessité de guider les hommes vers une masculinité respectueuseLe long parcours du pardon et de la guérison Quelques citations du podcast avec Vahina Giocante : "Je ne pense pas que les personnes réalisent à quel point c'est éprouvant de mettre les mots et de nommer l'acte de l'inceste en lui-même." "Si votre enfant vous dit ça, c'est vous l'adulte, donc prenez la parole, accueillez-la. Même si vous traversez des choses, essayez de les traverser avec vos thérapeutes, mais protégez l'enfant de vos propres émotions. Il a déjà les siennes à gérer, ne le chargez pas en plus des vôtres." "J'ai pas eu le luxe de haïr mon agresseur ou de le voir comme un agresseur. C'était d'abord et avant tout mon père et donc il y a cette ambivalence où j'ai jamais eu envie de lui faire du mal ni de me venger." "J'ai beaucoup plus de mal à pardonner le lâche que le vice." Photo (c) Catherine Delahaye Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.