Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus...

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus...

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus...

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus...

Nos vies sont faites d’irréparables, tous ces mots ses actes, ses évènements qui sont de notre fait ou que nous avons subis. Impossible de revenir dessus, ils sont inscrits dans le passé, ils ont eu lieu et l’on ne peut rien y changer. Comme les plaies sur le corps du Ressuscité, ils ont laissé des traces dans nos existences, qui elles sont de l’ordre de l’« irréparé ». De cet irréparé, peut-être pouvons-nous faire quelque chose, non pour effacer quoi que ce soit mais pour y puiser un surplus...

Marie Skobtsov, orthodoxe, a fuit la révolution russe et s'exila en France. Devenue moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. Après sa mort au camps d'extermintation de Raversnbrück, elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauver de nombreux juifs. La fin de sa vie sera l'accomplissement de sa vocation au milieu des détenus.

Marie Skobtsov, orthodoxe, a fuit la révolution russe et s'exila en France. Devenue moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. Après sa mort au camps d'extermintation de Raversnbrück, elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauver de nombreux juifs. Toute sa vie, elle a défendu combien le christianisme doit embraser le monde du feu de l'amour du Christ.

Marie Skobtsov, orthodoxe, a fuit la révolution russe et s'exila en France. Devenue moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. Après sa mort au camps d'extermintation de Raversnbrück, elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauver de nombreux juifs. Toute sa vie, elle combat pour le salut de tous, pour la communion des saints sur terre et au ciel.

Marie Skobtsov, orthodoxe, a fuit la révolution russe et s'exila en France. Devenue moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. A sa mort au camps d'extermintation de Raversnbrück, les témoignages affluent pour dire combien elle était incroyable. Elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauver de nombreux juifs. Toute sa vie elle a cherché à christifier sa vie.

Marie Skobtsov, orthodoxe, est née dans la Russie impériale, puis elle a fuit la terreur rouge, et s'exila en France. Devenu moniale, elle n'a eu de cesse d'accueillir les plus pauvres. A sa mort au camps d'extermintation de Raversnbrück, les témoignages affluent pour dire combien elle était incroyable. Elle sera canonisée, et déclarée Juste pour avoir sauver de nombreux juifs.

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Est-ce que la vie éternelle commence sur terre ? A cette question Marina copsidas, chrétienne orthodoxe répond oui, par la prière. Elle s'appuie sur le témoignage de Séraphin de Sarov, et notamment "l'entretien de Molotov".

Est-ce que la vie éternelle commence sur terre ? A cette question Marina copsidas, chrétienne orthodoxe répond en s'appuyant le témoignage d'un mystique...pourtant bien occupé par les affaires du monde, "Simon le nouveau théologien".

Après des siècles de luttes sanglantes, catholiques et protestants se reconnaissent mutuellement comme fils et filles d’un même Père, ce qui fait d’eux des frères. Si des différences existent toujours, elles sont désormais considérées comme des richesses dont chaque Eglise peut s’inspirer sans se renier.

Est-ce que la vie éternelle commence sur terre ? A cette question Marina copsidas, chrétienne orthodoxe répond en s'appuyant sur l'éloquence de Pierre Crysologue, théologien du Veme siècle, et auteur de nombreux sermons.

Est-ce que la vie éternelle commence sur terre ? A cette question Marina copsidas, chrétienne orthodoxe répond en s'appuyant sur Saint Irénée de Lyon : la bienveillance de Dieu doit nous faire sortir de la culpabilité et nous donner à regarder vers le ciel

Les chrétiens l'affirment dans leur crédo, ils croient en la vie éternelle. Mais où et quand commence t'elle ? Pour répondre à ces questions, Marina Copsidas, théologienne orthodoxe, a été puiser dans les écrits des mystiques et des docteurs de l'Eglise.

Les chrétiens l'affirment dans leur crédo, ils croient en la vie éternelle. Mais où et quand commence t'elle ? Pour répondre à ces questions, Marina Copsidas, théologienne orthodoxe, a été puiser dans les écrits des mystiques et des docteurs de l'Eglise.

Pour le bibliste Michel Quesnel « la foi n’est pas d’abord un catalogue de vérités à croire, mais une relation, un attachement, un rapport avec un être que nous appelons Dieu ". Finalement pour découvrir le Dieu des chrétiens, rien de mieux que Jésus lui-même.

Pour le bibliste Michel Quesnel « la foi n’est pas d’abord un catalogue de vérités à croire, mais une relation, un attachement, un rapport avec un être que nous appelons Dieu ". Finalement pour découvrir le Dieu des chrétiens, rien de mieux que Jésus lui-même.