Description
Comme dans le Bordelais, il y a dans la pop musique des cuvées d’exception.
En 1991, je suis tombé de ma chaise plus souvent qu’à mon tour. De tristesse quelquefois, en apprenant la mort de Freddie Mercury ou celle de Miles Davis. Leo Fender, le père de la guitare électrique a également fait ses adieux cette année-là. Vince Taylor aussi, mais lui je le croyais mort depuis longtemps vu l’invraisemblable quantité de produits toxiques qu’il avait ingurgités. Mais pour compenser ces quelques larmes, j’avais connu bien des bonheurs.
Des émotions à répétitions. Dans quel ordre, je ne sais plus mais écoutez un peu ce qui déboula dan nos tympans cette année-là. Les Red Hot avec Under The Bridge, Give It Away et Breaking The Girl. Nirvana et son Nevermind, grave non ? Ajoutez Losing my Religion de Rem, Wind Of Change de Scorpions, Enter Sandman de Metallica. C’est déjà cossu mais c’est pas fini. Voila que les Guns transforment une chansonnette de Dylan en un morceau d’anthologie. Quant à U2, une fois encore, il nous transcende le cœur et l’estomac avec un One tombé du ciel. Ah, oui j’oubliais Pearl Jam et la découverte d’Eddie Vedder. Putain, pour mes 50 ans, la pop musique ne s’était pas foutu de ma gueule.
Cette année- la, disparaissent le 45-tours et Frank Zappa qui n’en aurait eu pas grand-chose à battre puisqu’il avait signé une quarantaine d’albums mais pas un seul 45-tours. C’est aussi la fin de Dire Straits et des Pixies en tant que groupe. Mais ni Mark Knopfler ni Frank Black ne mettent un...
Published 11/17/24
Pour qu’un groupe atteigne un certain niveau créatif, de deux choses l’une. Soit tous les membres s’entendent merveilleusement bien et ont le regard tourné vers un même horizon. Dans ce cas, de l’addition des bonnes volontés résulte, comme en arithmétique, d’une somme plus grande que le potentiel...
Published 11/10/24