“Ce n’est pas un avis mais, suite aux sollicitations de votre présentateur, une proposition de sujet à traiter:
Prk dans certaines institutions sociales (hôpitaux psychiatriques - aide et soins à domicile par ex.) d’au moins 2 cantons romands on (qui?) n’autorise pas à travailler à 100%, le temps d’emploi étant au maximum de 90% (pour certaines ou toutes les branches professionnelles?) mais on demande de faire des heures supplémentaires rattrapées en temps, non en argent.
Est-ce légal? Qu’en est-il de la precarisation des conditions de travail? A-t-on déjà évalue les incidences de telles pratiques: salaires déjà bas, abaissés, impossibilité de trouver un travail à 10%, disponibilité comme pour un plein temps, horaires irréguliers, travail de nuit conséquent, ressources financières en baisse: salaires, cotisations sociales, formation continue possiblement.
Nous sommes quelques uns à ne pas comprendre que l’état pratique de cette sorte, qu’il se plaigne du manque de personnel suisse formé, qu’il paie ces formations pour ne pas être utilisées à plein rendement... : quels sont les faits qui motivent ces pratiques: économies financières, prévention fatigue trop importante des employés? 😉 Autres?
Merci pour votre attention, bonnes salutations🤗 Myriam Charmillot”
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10/21/17