En tant que nouveau banlieusard, François est pour la première fois de sa vie responsable d’une pelouse. Il constate que le gazon apporte peu à la biodiversité et que son entretien pollue. Il décide donc d’aménager une partie de sa cour avec des plantes faciles à entretenir qui pourront attirer des insectes et des oiseaux.

Les Canadiens sont les champions du gaspillage alimentaire : 30 % de la nourriture produite au pays est jetée. François se sensibilise à cet enjeu en discutant avec l’autrice Estelle Richard, mais aussi en faisant l’expérience du déchétarisme en compagnie des nutritionnistes Catherine Lefebvre et Bernard Lavallée, du balado «On s’appelle et on déjeune».

François a cassé la poignée d’une glacière électrique et tente de la réparer, mais rencontre toutes sortes d’obstacles. Il apprend à ses dépens jusqu’où va l’obsolescence programmée et il comprend que la réparabilité et la recyclabilité des objets de notre quotidien vont souvent de pair.

François conduit une voiture hybride depuis quelques années, mais il estime qu’il peut faire mieux pour réduire son empreinte écologique. Il se met donc à la recherche d’un véhicule 100 % électrique. Il fait même l’essai d’une technologie peu présente au Canada : une voiture à hydrogène.

Comme un nombre record de Montréalais en 2020, François Bellefeuille a fait le choix de quitter la métropole pour s’installer dans la proche banlieue. Maintenant, il cherche à s’assurer que sa décision n’a pas d’effets négatifs sur l’empreinte écologique de sa famille.

La pandémie a éloigné quelque peu François Bellefeuille de la nature. On lui propose une solution à la fois radicale et saugrenue pour se reconnecter avec elle : aller marcher nu en forêt. L’expérience s’avère pleine de surprises.

François Bellefeuille a rempli huit gros sacs de vêtements en bon état qu’il ne porte plus. Il cherche à s’en départir de la manière la plus responsable possible. Il visite l’organisme à but non lucratif Renaissance afin de bien comprendre ce qui se produira avec ses dons, et offre des vêtements aux coanimateurs de l’émission La soirée est (encore) jeune Olivier Niquet et Jean-Sébastien Girard.

François Bellefeuille possède beaucoup de vêtements et en achète souvent. Sa garde-robe contient des tas de morceaux jamais ou rarement portés. Il décide d’analyser le tout en compagnie d’une experte de la garde-robe responsable dans l’espoir de changer radicalement son rapport aux vêtements.

Les nouveaux épisodes sont maintenant accessibles sur l’application OHdio. Au menu : François s’initie au vélo d’hiver, explore le poids environnemental des vêtements et se déshabille pour la planète.| Réalisation : Marie-Michèle Giguère

La psychiatre Marie Paventi (Céline Bonnier), spécialisée en troubles schizophréniques, fait face au cas de Morgane Tétreault (Nahéma Ricci), 19 ans, qui viendrait d'abattre sauvagement ses parents. Maintenant, sur l'application OHdio.

Marches pour le climat, procès des pailles, Greta Thunberg… l’humoriste François Bellefeuille est loin d’être le seul à s’être intéressé à l’environnement, cette année. En compagnie de l'humoriste Louis T et de la journaliste Marianne Désautels-Marissal, il présente devant public au Bordel Comedie Club son bilan vert de l’année 2019.

Comme plusieurs, François Bellefeuille s’est mis au recyclage il y a une vingtaine d’années. Mais s’agit-il d’un geste vain? Pour en avoir le cœur net, il se rend à un centre de tri. Cette visite lui permettra de peaufiner une partie de son numéro sur le recyclage.

François Bellefeuille réalise qu’il doit changer ses habitudes de travail s’il veut arriver à écrire tout le matériel qu’il a en tête. Il décide donc d’organiser Le mauvais show, un spectacle gratuit pour ses admirateurs où il teste, pour le meilleur et pour le pire, ses blagues autour du thème de l’environnement.

Même s'il est conscient que cela dépasse l'entendement, François Bellefeuille adore le spectacle qu'offrent les catastrophes naturelles. C'est l'une des premières idées qu'il a élaborée pour son numéro sur les changements climatiques. Il doute toutefois de son choix lorsqu'il doit présenter son spectacle en Beauce, en pleine crue des eaux.

Père de deux jeunes enfants, l’humoriste François Bellefeuille se surprend à se préoccuper davantage de l’environnement. Il se met donc au défi d’écrire un numéro sur le sujet. Le résultat (catastrophique) de son empreinte écologique lui inspire quelques lignes qu’il teste à son bar, le Bordel Comédie Club.

François Bellefeuille constate que pour faire rire les gens avec un thème comme celui de l’environnement, la confrontation est une bien mauvaise idée. Pour avancer dans sa quête, il se mobilise en participant à la grande marche pour le climat de Montréal. Si au début il y va à reculons, il finit par prendre ses aises parmi les manifestants.

Depuis quelques semaines, François Bellefeuille teste un court numéro où il explique que le gouvernement devrait interdire des activités polluantes. Il propose de débuter par certains sports comme le parachutisme, qui nécessite un avion. Il se porte volontaire pour rencontrer personnellement Guillaume Lemay-Thivierge pour lui annoncer son idée.

François Bellefeuille rêve de tester ses blagues à saveur environnementale du Mauvais show loin des grands centres. L’occasion se présente alors qu’il est de passage aux Îles-de-la-Madeleine pour visiter sa nouvelle propriété. C’est aussi l’endroit le plus menacé par le réchauffement climatique au Québec.

Pour ses spectacles, François Bellefeuille utilise du fixatif en aérosol, beaucoup et souvent. Comme le produit est loin d’être écologique, l’humoriste accepte le défi de le fabriquer lui-même. Pour l’aider dans ses premiers pas vers le zéro déchet, il discute avec l’autrice d’un livre sur le sujet, Mélissa de La Fontaine.

L’humoriste François Bellefeuille décide de signer l’arrêt de mort du papier de toilette dans sa maison, produit souvent emballé dans du plastique. Troublé à la simple idée d’une option de rechange lavable, il décide de suivre les conseils de l’autrice Mélissa de La Fontaine et d’installer un bidet sur sa toilette.

François Bellefeuille s’invite à un spectacle d’humoristes de la relève sur l’écoanxiété. Il échange avec eux sur la manière de faire rire avec un sujet si difficile, mais aussi sur l’expérience de tester ses blagues sur un public inquiet. Au bilan de sa quête, il se questionne : a-t-il réussi à écrire un numéro qui fait autant rire que réfléchir?

Humour et environnement au menu de ce nouveau balado