Description
En 2012, alors qu’il dirige le département de sociologie de l’UQAM, Jacques Beauchemin est appelé par la première ministre Pauline Marois à remplir une mission plutôt ardue : réformer la loi 101 sur l’affichage en français. Rien de moins. « C’était toute une affaire! Je n’étais pas certain que j’avais les compétences nécessaires pour livrer cette bataille-là. »