Un demi d'ouverture plus joueur, des trois-quarts avec plus de vitesse, des intentions qui ont évolué, un banc passé de sept avants face à l'Irlande à cinq face au XV de France... Les champions du monde en titre ont-ils changé leur jeu ? C'est subtil. On vous explique, entre autres histoires du rugby sud-africain.

France - Afrique du Sud, quart de finale de Coupe du monde, se profile à l’horizon : ce sera une bataille féroce, ce sera avec Antoine Dupont, ce sera à quitte ou double. Avant tout ça, Crunch se penche sur la préparation des Bleus, pourquoi le match face à l’Italie laisse place à l’optimisme et sur le plan de jeu à adopter face aux Springboks.

Si elle dispose de talents comme rarement, l'Italie, certes capable de battre des nations comme l'Australie ou le Pays de galles, a du mal à réduire le gap qui la sépare des grandes nations. Pourquoi, exactement ? Et progresse-t-elle vraiment, ce que certains de ses exploits laissent supposer ?

Le malheur des favoris, France, Afrique du Sud, Irlande et Nouvelle-Zélande étant tous dans la même partie de tableau, fait le bonheur des outsiders, et c'est comme ça que les malades gallois et anglais, certes en phase de guérison, s'ouvrent une voix royale vers le dernier carré ou que les Fidji, équipe coup de cœur du public, peuvent légitimement y penser. Nos reporters racontent ces trois équipes.

Touché à la mâchoire face à la Namibie, le capitaine du XV de France est très incertain pour le quart de finale qui se profile. Une perte immense qui crée de l’inquiétude et change les dynamiques collectives : quelle est l’ambiance au sein du groupe ? Pourquoi est-il si précieux ? Et qui de Maxime Lucu ou Baptiste Couilloud va le remplacer, au moins à court terme ?

La Namibie, prochain adversaire des Bleus, n'a jamais réussi à y gagner un match malgré des participations récurrentes à la Coupe du monde. Est-ce pour cette année ? Peut-être. Mais Crunch vous raconte surtout le rugby local et les histoires du rugby namibien d'hier et d'aujourd'hui.

Après la décevante prestation face à l’Uruguay, l’encadrement tricolore pourrait changer de plan, à savoir ne plus aligner les coiffeurs face à la Namibie histoire de se rassurer et d’engranger des repères. Qu’est-ce que ce retour de l’équipe « premium » dit de l’état de forme des Bleus ? Et en quoi cette adaptation peut s’avérer bénéfique ?

L'Uruguay, deuxième adversaire de la France à la Coupe du monde, possède un rugby encore majoritairement amateur mais qui se développe. Crunch, dont l'un des reporters est parti sur place, vous raconte l'histoire du XV uruguayen et comment ce petit pays de rugby a préparé le Mondial. 

Face à la Nouvelle-Zélande, les Bleus ont gagné 27-13, un résultat remarquable, mais qui laisse percevoir des axes d’amélioration, surtout dans la perspective d’une rencontre face à l’Afrique du sud ou l’Irlande en quart de finale. Crunch revient sur ce qui a marché, ou non, lors du match d’ouverture face aux All Blacks.

Après leur revers en demi-finale de la Coupe du monde 2019, les All Blacks ont connu des années en montagnes russes. Un coup ça va, un coup ça ne va pas… Mais avant d’affronter la France en ouverture du Mondial, dans quelle dynamique sont-ils ? Leur important revers face à l’Afrique du Sud change-t-il quoi que ce soit ?

L'international français, capitaine de la défense, a reçu Crunch chez lui à une semaine du début de la Coupe du monde. Il évoque la préparation du XV de France avant le match d'ouverture face aux All Blacks et son évolution personnelle.

Dernier Crunch en l'honneur des Rouge et Noir, naturellement. Encore menés jusqu'à la 78e minute, les Toulousains ont remporté leur 22e titre de champion de France après un essai que personne n'avait vu de Romain Ntamack. De l'aveu de tous, un vrai «  scénario de film » 

C’est désormais un classique du rugby moderne et il n’y a plus de doute possible : Toulouse et La Rochelle sont les deux meilleurs clubs de France ces dernières années. Dans une finale qui s’annonce électrique, les Rouge et Noir peuvent-ils continuer d’être la bête noire des Rochelais ? Et, à l’inverse, les Jaune et Noir peuvent-ils s’appuyer sur leurs récentes conquêtes européennes pour enfin gagner le Brennus ?

Un mental d'acier, un plan de jeu qui n'a jamais changé, des joueurs qui se révèlent, une préparation physique millimétrée... Le Stade Rochelais n'est pas devenu champion d'Europe pour la deuxième fois de suite par hasard. Crunch vous explique pourquoi ce succès situe le club parmi les très grands et comment il y est arrivé.

Forts de leurs énormes gabarits, les Jaune et Noir, opposés au Leinster en finale de Coupe d’Europe, se présentent en Irlande pour créer l’exploit. L’an dernier, déjà face au Leinster, le sort leur avait souri à force de patience et d’abnégation, alors que faut-il pour rééditer une telle performance ?

Le pilier droit du Stade Rochelais et des Bleus a reçu Crunch dans sa ville d’adoption et détaille pourquoi cet endroit, depuis plus de dix ans, lui va si bien, comment il a lui-même évolué sur le terrain, ses derniers rêves avec l’équipe de France, lui qui avoue penser à arrêter après la Coupe du monde 2023, ou encore sa vie en dehors du rugby. « Je bois moins de bières qu’avant », rigole-t-il notamment.

L’entraîneur du Stade Toulousain a reçu Crunch dans les bureaux du club, le temps d’évoquer l’identité toulousaine, son management, les années qui passent, comment se régénérer sans cesse ou encore ce qu’il imagine pour la suite. « On n'entraîne plus les joueurs d'aujourd'hui comme il y a dix ans », dit-il notamment

Blessé aux ligaments croisés lors du match face à l’Écosse, le 26 février, puis opéré le 6 mars, Anthony Jelonch, l’indiscutable troisième-ligne du XV de France et du Stade Toulousain, a entamé une course contre-la-montre pour être prêt pour la Coupe du monde. Dans Crunch, il précise le contenu des six mois de rééducation à venir et revient sur son tournoi des Six Nations et celui des Bleus.

Avec sa victoire par 43 points d’avance à Twickenham, le XV de France n’a pas seulement étrillé son meilleur ennemi mais aussi marqué les esprits en vue de la Coupe du monde. Quels sont les secrets de ce succès ? Comment les Bleus se sont remobilisés après l’échec irlandais ? Qui sont les joueurs qui ont marqué des points ?

Les Bleus de Fabien Galthié n’ont jamais battu l’Angleterre chez elle, et, avant la Coupe du monde, voilà un dernier bel accomplissement à rajouter à la liste. Quels ingrédients faudra-t-il mettre face à une équipe qui a basé sa reconstruction sur le défi physique et son paquet d’avants ? Dans quel état est le rugby anglais en général ? Le XV de France, qui ne s’est plus imposé à Twickenham dans le Tournoi depuis 2005, va-t-il faire des changements ?

L’équipe de France a retrouvé le goût de la victoire face à l’Écosse (32-21) après sa défaite en Irlande et ce match a offert beaucoup d’éléments, positifs ou non, que Crunch a essayé de comprendre : un début tonitruant, quelques doutes, un carton rouge, de jolis essais, des joueurs qui performent et d’autres moins… Riche programme !

Le demi d’ouverture de l’Écosse et du Racing réalise un début de Tournoi brillant, ayant permis au XV du Chardon de s’imposer en Angleterre puis face au pays de Galles. Il sera la principale menace pour les Bleus, dimanche : quel est son style et comment expliquer autant de fantaisie dans son jeu ? A-t-il des côtés sous-estimés ?

Entre les envies offensives de ses joueurs, des oppositions qui s’adaptent, ses propres stratégies et l’arbitrage, notamment dans le jeu au sol, qui évolue, l’équipe de France, défaite samedi en Irlande, se voit confronter à plusieurs questions : quelle direction donner à son jeu ? Faut-il porter davantage porter la balle ? Et comment aborder la suite de cette année 2023 si cruciale ?

Très pénalisé face à l'Italie, le XV de France doit se ressaisir avant d'aller affronter l'ogre irlandais, première nation mondiale, samedi à Dublin. Que peut-elle changer ? Quelles ont été ses forces en Italie ? Et à quoi peut-on s'attendre face à l'Irlande d'Andy Farrell ?

En amont du match d’ouverture du Tournoi des Six Nations face à l’Italie, Crunch s’est longuement entretenu avec William Servat, spécialiste de la mêlée dans le staff du XV de France. Il raconte sa méthode, le travail quotidien et les détails qui font de cette épreuve collective, selon, presque un art.