Valentin n'attrape jamais la grippe et parfois on se dit que c'est dommage... 

Parfaitement en phase avec la météo et l'ambiance de ce mois de janvier, Valentin découvre la pluie, l'hiver et des blagues à deux balles. 

Pour Valentin le lundi bleu déjà ça se prononce blundi bleu... je vous laisse découvrir la suite de ces palpitantes aventures sur votre réseau prétendument sociable.

Valentin nous le dit avec sa voix de velours :  "C'est la rentrée et on se fait déjà chier". Mais peut-on vraiment soigner le mal par le mal ? Je vous laisse essayer. 

Valentintin ne renonce pas. Ce type est animé d'une foi mystique et rien ne semble pouvoir arrêter son inextinguible soif de tweets débiles. 

Valentin est revenu de vacances... pourquoi ? Je ne saurais vous le dire. 

Trump etc. (franchement je vois pas ce que je pourrais écrire de plus clair sur ce truc)

Valentin a gentiment accepté de réduire un peu la durée de son podcast. Je ne peux que vous encourager à l'appeler au 0148440052 afin de lui dire qu'il peut encore couper quatre ou cinq minutes. Là-dessus have fun ! 

Valentin rit tout seul de ses vannes toutes pourries trouvées sur twitter. De temps en temps une éclaircie. Et toujours cet orgue qui donne la migraine. Du beau podcast.  

 On continue encore avec encore des tweets qui font encore rigoler Valentin.

Valentin sait que son podcast même s'il est plus court est encore beaucoup trop long,  il sait que ça ne fait rire qu'un tondu sur mille, il sait que sa voix trafiquée ça va bien cinq minute parce qu'après c'est pénible, mais il s'en fout un peu, il s'amuse. 

Valentin sait que son podcast est de plus en plus long,  il sait que ça ne fait rire qu'une personne sur mille, il sait que sa voix trafiquée ça va bien cinq minute parce qu'après c'est pénible, mais il s'en fout un peu, il s'amuse. 

Valentin sait que son podcast est de plus en plus long,  il sait que ça ne fait rire qu'une personne sur mille, il sait que sa voix trafiquée ça va bien cinq minute parce qu'après c'est pénible, mais il s'en fout un peu, il s'amuse. 

Valentin insiste... il aime les tweets ! Ca le fait rire. 

Tintin c'est Valentin... et Valentin aime les tweets... les tweets font rire Valentin.