L'article de La Presse du 1er juin concernant l'absorption de produits dopants comme le GHB, met en lumière le sort réservé aux victimes d'actes criminels. Sont-elles écoutées, accompagnées aidées? Marie -Christine Villeneuve est coordonnatrice aux communications et relations publiques du CAVAC ( Centre d'aide aux victimes d'actes criminels). Elle nous explique comment se mettent en branle les ressources à la suite d'un acte criminel.
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Charles Gaudreau:
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