Direction l'outre-monde, le temps d'une réflexion sur la boucle infernale des Mille Morts de Meat Boy... et de la terrible créature qui s'en nourrit. Feu nourri, même. Le mot de la fin sera celui de Alain Huygues Lacour, a.k.a. AHL, journaliste et chroniqueur, qui nous parle de Nintendo et des jeux japonais.

Le Théorème d'Iznogoud, ou comment un jeu, par son thème, dévoile tout son potentiel après avoir amené le joueur à se transformer lui-même... en boss. Illustration avec un jeu des plus chatoyants, Grand Theft Auto : Vice City. Le mot de la fin sera celui de Yoshihisa Kishimoto (traduit en français par Florent Gorges), game designer sur le mythique Double Dragon, qui nous parle des boss de ses jeux l'ayant le plus marqués.

L'imposant le dispute à la majesté (des mouches) dans cet épisode dédié au Great Mighty Poo, boss mémorable de Conker's Bad Fur Day, qui nous démontre, en chanson, qu'on ne juge pas un livre à son odeur. Le mot de la fin sera celui de Julien Chièze, journaliste chez Gameblog.fr, qui réussit à ne PAS nous parler de Metal Gear Solid. C'est fou, non ?

Premier numéro oblige, remontons aux origines du Mal, pour parler du Sinistar, l'acteur discret - et pourtant terriblement mémorable - d'une vraie petite révolution qui a donné ses lettres de noblesse à la fonction de boss de jeu vidéo. Dans l'espace, vous l'entendrez définitivement crier. Le mot de la fin sera celui d'Eric Chahi, créateur d'Another World et Heart of Darkness, qui nous parle de son rapport au concept de boss.