Caroline Marcil raconte le moment où une vidéo la montrant chantant l’hymne national américain, en 2005, est devenue virale, bien malgré elle. Nicolas Ouellet s’entretient aussi avec Jules Saulnier, qui a relayé des vidéos ayant connu un grand succès sur le web au Québec, ainsi qu’avec Arianne Maynard-Turcotte et Maryse Paradis, le duo derrière Les trolls élégants.

Nicolas Ouellet s’entretient avec Jean-René Dufort, alias Infoman, qui déplore que les médias d’information suivent désormais le rythme effréné des phénomènes viraux. Léa Clermont-Dion décrit les éléments plus positifs de cette tendance, notamment avec le mot-clic #MoiAussi. Finalement, David Mongeau-Petitpas se souvient du tweet de Richard Martineau qui avait fait les manchettes lors de la grève étudiante de 2012.

Le copropriétaire du Beachclub, Olivier Primeau, se remémore son premier grand coup publicitaire : inviter Dan Bilzerian, le « roi d’Instagram », à son club de Pointe-Calumet, en 2015. Nicolas Ouellet s’entretient aussi avec le concepteur publicitaire Philippe Comeau, qui est notamment derrière la vidéo virale Un voyage jamais vu de Tourisme Québec. Avec Nicolas Ouellet (animateur), Philippe Richard Bertrand, Olivier Primeau et Philippe Comeau (invités)

Nicolas Ouellet rencontre Lori Malépart-Traversy, réalisatrice du court-métrage d’animation Le clitoris, qui a cumulé plus de 7 millions de vues sur le web. Aussi, sur un toit de Montréal à -12 °C, il assiste à une séance photo de la collection québécoise 1001 fesses. Si les deux démarches célèbrent le corps féminin, l’une est applaudie, tandis que l’autre est trop souvent censurée. Avec Nicolas Ouellet (animateur), Lori Malépart-Traversy, Emilie Mercier et Frédérique Marseille (invitées)

Nicolas Ouellet s’entretient avec un humoriste qui produisait des capsules virales avant même l’avènement d’Internet : François Pérusse. Il reçoit aussi Michel Beaudet, créateur des Têtes à claques, le premier grand succès québécois sur le web. Finalement, le fondateur anonyme de ConneriesQc, une véritable usine à clics, révèle avoir laissé son emploi d’ingénieur pour s’occuper de son site à temps plein.