Arrivés à une époque où le crime fait de nouveau salle comble, sortons cette œuvre extraordinaire, cet affreux roman de nos tiroirs. Plein de confiance, Monsieur Féval proclame qu' « on ira pas plus loin dans la voie du crime à bon marché. » Et c'est bien vrai : une moyenne de soixante-treize assassinats par chapitre, c'est inouï ! Sans parler des vols, viols, substitutions d'enfants, faux en écriture privée ou authentique, détournements de mineures, effractions, escalades, abus de confiance, bris de serrures, fraudes, escroqueries, captations, vente à...