Redécouvrez la tragique épopée de Didon et Enée tirée du récit de l’Énéide de Virgile dans ce tableau, La Mort de Didon, de Simon Vouet, Premier peintre à la cour de Louis XIII. Le chef-d’œuvre des collections d’art ancien du musée restitue le lyrisme de cette scène, en associant la puissance d’expression du baroque à la monumentalité du classicisme français qui domina ensuite le règne de Louis XIV.

Artiste d’origine flamande, Pieter Van Boucle nous fait découvrir à travers son art une manière inédite de traiter des fruits et légumes, tombant d’un panier. Le peintre sait ici allier avec subtilité, rigueur de la composition, restitution fine de la texture des objets peints, l’ensemble étant baigné dans une gamme de couleurs contrastée. Sa peinture devient ainsi un chef-d’œuvre, celui d’une nature morte rendue vivante par le talent de son interprète.

Ce beau portrait recèle bien des mystères. Fruit d’un portraitiste français de renom, son identité est longtemps restée incertaine, de même que celui des modèles peints. Derrière le faste du traditionnel portrait aristocratique du Grand siècle, se cache le délicat témoignage de la tendresse partagée entre une mère et son fils.

Figure des déshérités qu’affectionnait Courbet, le chemineau est disposé avec monumentalité au premier plan de l’œuvre, sur un fond de paysage peint avec la franchise d’expression typique du maître d’Ornans. Restaurée en 2005, cette œuvre depuis lors attribuée à Gustave Courbet, s’intègre ainsi harmonieusement à sa série ‘‘Les grands chemins’’.

Imaginez-vous plongé au cœur du Moyen-Age, écoutant à la porte d’un atelier de taille de pierre dolois...

Les tableaux ne sont pas si sages lorsqu’ils pensent qu’on ne les regarde pas ! Soyez discrets et tendez l’oreille...

Dans le tumulte de la conquête de l’ancienne capitale comtoise, un jeune soldat vous raconte son histoire et celle de ses ancêtres.

Cette porte que le Président du parlement emprunta au XVIIe siècle est présente dans le musée... A vous de la trouver !

Entrez dans l’ambiance feutrée d’un salon chinois. Faites connaissance avec un dolois au parcours exceptionnel, le peintre Jean-Denis Attiret.

Si vous vous promenez de nos jours sur les bords du Doubs, tournez vous vers Notre-Dame, et vous aurez comme un air de ‘‘déja-vu’’...

Une semaine avant la chute du Second Empire, les troupes prussiennes passent les portes de Dole, l’arme au poing.

Le symbole de Dole s’invite dans l’art contemporain. Notre-Dame version Gérard Fromanger !